Partagez

(PV) open eyes.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Yuki N. Harada
GUERISSEUSE.



(PV) open eyes. Empty
MessageSujet: (PV) open eyes. (PV) open eyes. Icon_minitimeVen 16 Nov - 17:53

Voilà six semaines que Yuki Harada était plongée dans le coma dans l'une des chambres de Ste Mangouste, après s'être interposée entre des balais filant à toute vitesse et son fils, James. Le choc avait été brutal et la jeune femme avait subit un important traumatisme crânien. Les médecins qui s'étaient occupés de leur consœur avait été sans appel ; elle s'en sortirait, ses facultés vitales étaient bonnes, mais impossible de donner une date : elle ouvrirait de nouveau les yeux quand elle sera prête à revenir. La nouvelle avait été très dure a accepter pour James qui était parti vivre chez son père en attendant, puis en vacances dans la famille Almadovar ; décision que Dakota avait prit en tout état de cause pour l'éloigner de la présence inexistante de sa mère qu'il ne cessait de réclamer. Il venait parfois et ne disait pas un mot, pleurait juste sa culpabilité en glissant sa main dans celle, inerte et froide, de l'ancienne serdaigle.

Dans la chambre, seul le bruit régulier de la machine qui retranscrivait les battements de cœur de Yuki, se faisait entendre. Elle était là, les cheveux détachés et bouclés au naturel, les yeux fermés, une expression de paix sur le visage. Et en effet, elle n'avait jamais été aussi heureuse de toute sa vie. Dans son rêve, ce monde parallèle dans lequel elle était plongée, elle était en présence de Kaede Harada, sa tendre mère décédée. C'était une femme de vingt-cinq ans que l'on voyait blottie contre le sein d'une femme d'une trentaine d'année. Un sourire léger sur le visage, elle ne cessait de lui dire combien elle l'aimait et combien elle lui avait manquée. Qu'elle était si heureuse de l'avoir retrouvé et que d'être en face d'elle ne signifiait rien d'autre que le fait qu'elle devait se trouver au paradis.

« Ma petite maman d'amour, tu m'as tellement manquée. Plus jamais, jamais, jamais, je ne veux être loin de toi. »
« Pourtant, il est temps ma neige. »

Les yeux de Yuki s'embuèrent en une fraction de seconde. Pour une personne qui n'avait pas pleuré depuis des années, l'annonce qu'on allait l'arracher à la présence de sa mère lui fendait le cœur. C'était sûrement la pire chose qu'on pouvait lui dire, car il n'y avait personne sur terre et dans le ciel qu'elle n'aimait plus que celle qui lui avait donné la vie. Elle s'en voulait. Elle savait que c'était sa faute, si elles avaient été séparées. Elle s'en était toujours voulue, avait ressentie une énorme culpabilité envers ses sœurs et de la jalousie pour Dakota et toutes ces autres personnes qui avaient une vraie famille. Laissant une larme coulée le long de sa joue, elle se mit à genoux devant sa mère, baissant la tête et pleurant silencieusement.

« Je m'en veux tellement, ma petite maman. Si j'avais été plus sage, si je ne t'avais pas demandé de sortir, si on était restées avec Keiko et Sakura ce jour là, rien de tout ça ne serait arrivé ! Si j'avais été une meilleure fille, tu serais encore vivante. Pardonne moi... »
« Ce n'était pas ta faute, ma neige. »
« Bien sur que si ! » affirma Yuki, tout en reniflant.
« Non. Tu sais maintenant ce que c'est. Toi aussi, tu es mère et tu as risqué ta vie pour James. Il a besoin de toi, tes sœurs ont besoin de toi. Il y a énormément de personnes que tu ne soupçonne pas mais qui ont besoin de toi. Il faut que tu ouvres les yeux. »
« Mais je ne veux pas te quitter ! »

C'était l'enfant de quatre ans qui protestait dans le corps de la femme. Toute sa vie, elle avait rêvée de pouvoir revenir en arrière et modifier cette jourrnée qui avait marqué un tournant décisif dans sa vie. Faire revenir sa mère auprès d'elle était son fantasme secret, son désir le plus cher, le plus fou, celui impossible a réaliser mais qu'on ne cesse d'espérer secrètement. Malgré le fait qu'elle savait qu'il fallait qu'elle retourne à sa vie, pour son fils, sa famille, sa meilleure amie, et d'autres, elle ne pouvait s'empêcher d'être égoïste et de préférer sa mère à tout le reste. Elle devait être la pire mère du monde, elle en était consciente. Ce fut comme si Kaede avait été capable de lire dans les pensées de sa cadette. S'agenouillant, elle se mit à la hauteur de l'ancienne serdaigle en pleurs, et prit son visage de ses mains délicate. Affichant un léger sourire sur ses lèvres fines, elle essuya du revers de son pouce, l'une des larmes de sa fille.

« Ce n'est pas ta faute. Jamais, je n'en t'ai voulue et je referais exactement la même chose si l'on me demandait de recommencer. Cesse de te détruire à cause du passé, ouvre toi aux personnes qui t'aime, Yuki. Tu dois protéger James, empêcher que la prophétie se réalise. Parle en à Dakota, et cesse de garder des secrets. »
« Oui, ma maman d'amour, je te le promets » répondit Yuki, tout en acquiesçant vivement de la tête.
« Au revoir. Je t'aime, ma neige. »
« Je t'aime aussi maman. »

L'image de Kaede Harada se volatilisa aussi vite que si elle avait transplanée, et Yuki se retrouva toute seule. Quelques minutes plus tard, son index bougea légèrement, puis se fut au tour de ses paupières de s'ouvrir doucement, non sans difficulté. L'image qu'elle percevait était floue, mais devenait de plus en plus précise au fil des secondes. Si au départ elle ne distinguait que des formes grossières, elle pouvait, à présent, voir qu'il y avait de nombreux bouquets de fleurs dans la salle, ainsi qu'une femme qui lui faisait face. L'ancienne serdaigle tenta de lui adresser un sourire, même si elle était persuadée que cela devait plus ressembler à une grimace qu'autre chose. La seule chose qu'elle fut capable d'articuler fut « James ? » et son visiteur dû se contenter de cela pour seul bonjour.
Revenir en haut Aller en bas
Karly G. McGregor
BRACONNIERE AU MARCHE AUX TROLLS.



(PV) open eyes. Empty
MessageSujet: Re: (PV) open eyes. (PV) open eyes. Icon_minitimeJeu 22 Nov - 21:52

    C’est le corps usé et l’esprit embrouillé que la jeune McGregor remontait l’allée d’un blanc immaculé de Sainte Mangouste. La traque avait été longue et fastidieuse et le goût amer de la défaite résidait encore dans sa gorge. Depuis son départ pour l’entre-deux, plus rien n’avait tourné rond. Plus rien n’allait dans ce monde. Sa mère n’étant plus là, James avait été envoyé chez son père. Rien de plus normal. A chaque fois qu’elle revoyait sa petite bouille, le cœur de l’écossaise se serrait face à l’absence de sourire illuminant sa petite frimousse. Elle partageait la même peur que lui : celui de ne plus jamais la revoir. Les médicomages étaient optimistes mais qu’en savaient-ils réellement ?! Leur incertitude lui avait mis les nerfs en pelote. Pire, elle n’était bonne à rien. Elle avait délaissé leur appartement, ce dernier n’étant que trop vide sans l’âme chaleureuse de ses occupants. Les rires lui manquaient. Elle s’était terrée au fin fond de l’Ecosse. Et pourtant, rien n’y avait fait. Ni Mac, ni Matthew, ni Jayden n’avaient réussi à la faire sortir de sa mélancolie, se lançant alors à cœur perdue dans le travail afin de ne pas penser. De ne pas y penser. Faire semblant que tout va bien car il ne restait plus que cela à faire. Allumer la flamme de l’espoir pour les autres. Même quand la sienne s’essouffle. Garder la tête haute et froide. Si elle savait la tenir haut perché, les degrés étaient plus bouillonnants que frigorifiques. Elle s’était lancée dans une course folle où l’adrénaline restait sa seule maîtresse… après avoir failli être démasquée, elle avait fini par s’exiler. Le temps de se faire un peu oublier. Il ne lui restait plus que çà. Pourtant, attendre impatiemment un miracle passivement n’était pas dans ses habitudes. Elle ne le supportait tout simplement pas. Elle aurait donné sa place si seulement cela la faisait revenir de l’entre-deux en même temps que le sourire de son petit lutin. Les mains enfoncées dans ses poches, elle ne prenait même pas la peine de relever la tête sur son passage, avançant comme si rien ne pouvait se mettre sur son chemin. Dans ses pensées, ses doutes et ses espoirs.
    Si l’une des infirmières tenta de lui parler, une autre s’occupa de détourner son attention en lui signalant que la jeune femme était de la famille. Mensonge car aucun lien de sang n’unissait les deux jeunes femmes bien que l’idée folle d’un pacte du sang à la lueur de la pleine lune leurs avait souvent traversé l’esprit. Néanmoins, elles étaient une famille. Une seule et unique. Un faux parchemin lui avait donné accès à la chambre de Yuki Harada. Une main sur la porte de l’hôpital, Karly marqua une pause. Qu’allait-elle trouver au-delà ? Inconsciemment, elle souhaitait que Yuki se réveille. Egoïstement, elle préférait la voir endormie que morte. Un espoir s’illuminait alors toujours au fond de son esprit. Poussant un soupir à en déchirer le cœur, elle finit par entrer, une boule au fond de la gorge.

    Rien n’avait changé. C’est était… affligeant. Yuki était toujours là. Dans la même position, semblant si irréellement calme. S’avançant dans la salle, l’écossaise ne fit même pas attention aux fleurs qui se multipliaient à son chevet et alla prendre place sur le fauteuil qui jouxtait le lit. Commençant par s’avachir, la jeune femme était des plus déprimées avant qu’elle ne se reprenne en main. S’asseyant sur le bord du siège, elle retira sa veste tout en la posant derrière elle après en avoir sorti une touffe de poils tressés. « Tu vois ça, ma chère amie ?! Et bien, c’est ton œuvre ! » commença-t-elle par l’accuser tout en brandissant les poils blanc argentés devant elle. Soupirant encore plus, elle roula des yeux face à sa stupidité. Regardant l’objet de ses récoltes, elle était blasée et affligée par ses propres résultats. Elle était bonne à rien. « Il faut que tu te réveilles, Yuki. Plus rien ne tourne rond si tu n’es pas là. Je ne suis même pas capable de traquer un bigfoot dans les montagnes, c’est pour dire… » … mais à quoi bon supplier une sorcière qui était bien loin du monde réel ?! Karly savait qu’elle n’aurait pas de réponse. Comme toutes les autres fois. Elle n’avait recroisé personne de sa connaissance. Elle n’avait pas envie qu’on lui parle de sa meilleure amie. De sa sœur de cœur. Il fallait qu’elle se réveille. Elle était complétement incapable de faire la moindre chose de bien sans elle. Calant ses coudes sur ses genoux, elle enfonça sa tête entre ses mains luttant contre le désespoir qui l’envahissait. Il était hors de question que quelqu’un ne soit témoin de cela. Surtout pas l’esprit fantomatique de Yuki qui rôdait bien quelque part. Et pourtant…

    « James ? » Une voix faible s’éleva dans la pièce. Relevant la tête en direction de la porte d’entrée, Karly fut surprise de constater qu’il n’y avait personne. Elle le fut d’autant plus lorsqu’elle remarqua que cette petite voix provenait du corps qui était allongée sur le lit. Mettant quelques secondes avant de réaliser ce qui se passait, la couleur sur les joues de l’écossaise revint en même temps que son sourire. « Il va bien. » Consciente que la nippone s’était arrêtée à l’épisode de l’accident, il convenait de ne pas l’affoler dès son réveil. Pourtant, ce n’était pas l’envie qui manquait chez l’écossaise. Retenant une stupide émotion de joie intense venir jusqu’à ses yeux, elle finit pourtant par rire afin d’évacuer les tensions qui s’étaient accumulées. « Il ira beaucoup mieux maintenant. » continua-t-elle en attrapant doucement la main de la jeune femme. De longues secondes passèrent où seuls les rires de Karly s’élevaient dans la chambre d’hôpital avant qu’elle ne reprenne d’un air plus sérieux. « Tu refais çà, je t’étripe ! » Certes, elle savait parfaitement que Yuki était prête à tout pour son enfant et trouvait même cela des plus naturels. Mais, elle ne voulait plus se retrouver dans le rôle de l’amie inquiète à se ronger les sangs à chaque minute d’incertitude. Ses nerfs n’étaient pas faits pour cela.
Revenir en haut Aller en bas
Yuki N. Harada
GUERISSEUSE.



(PV) open eyes. Empty
MessageSujet: Re: (PV) open eyes. (PV) open eyes. Icon_minitimeVen 23 Nov - 23:02

« Il va bien. » La réponse ne s'était pas faite attendre et c'était un sentiment d'apaisement qui envahissait le corps de l'ancienne serdaigle. Si son fils allait bien, le pire ne s'était pas produit. A l'écoute de la voix qui lui avait annoncée la bonne nouvelle, elle reconnue la personne de sa meilleure amie. Elle était là, près d'elle, et elle n'aurait pas pu rêver d'un meilleur accueil. Sa sœur de cœur, d'esprit et de conscience, celle pour qui elle serait prête à se battre aussi fort que pour Keiko et Sakura avec qui elle partageait un lien de sang. « Il ira beaucoup mieux maintenant. » Yuki acquiesça d'un petit signe de tête. Elle aussi irait mieux à présent. Elle avait du dire au revoir à sa mère qu'elle avait retrouvée dans ce monde parallèle, qu'elle était sûre, était le paradis, mais dans celui-là beaucoup plus réel, elle allait revoir son fils, Karly. Même l'idée de recommencer à se battre contre Dakota pour des futilités lui donnait du baume au cœur.

« Tu refais çà, je t’étripe ! » A la réplique de sa meilleure amie, l'anglo-japonaise laissa un rire faible et presque inaudible sortir du fin fond de sa gorge. Décidément, sa vie était ce qu'elle était mais elle ne l'échangerait pour rien au monde. Elle avait eu la chance de rencontrer des personnes formidables qui s'étaient attachées à elle et formait à présent son entourage proche. Il ne lui en avait pas voulu, ou pas trop, de tous les secrets qu'elle gardait ou de son aspect froid et distant. Ils l'avaient acceptée telle qu'elle était et la guérisseuse avait pu s'épanouir à leurs côtés. Sentant sa gorge extrêmement sèche, elle demanda à Karly de lui donner de l'eau ce qu'elle fit immédiatement, aux petits soins pour sa colocataire. Le silence continua mais il n'était pas pesant, loin de là. Il y avait quelque chose de serein là dedans. Elles n'avaient pas besoin de parler, de crier comme des hystériques, de se faire des câlins ou de se dire qu'elles s'aimaient pour le savoir ; elles savaient. « Comment va Dakota ? » La question était sortie de sa bouche sans qu'elle s'en rende compte elle-même. Malgré leurs disputes et leurs divergences d'opinions, ils s'étaient aimés. Elle ressentirait sûrement quelque chose pour lui jusqu'à la fin de sa vie et il restait le père de son fils ce qui lui assurait un lien permanent et incassable jusqu'à ce que la mort les séparent.

« Raconte moi ce que j'ai loupé. » Elle s'arrêta un instant et se rendit compte qu'elle ne savait même pas quel jour on était. « En fait, ça fait combien de temps que je suis comme ça ? » C'était la question primordiale, à vrai dire. Plongeant ses iris grises dans celle de la jeune McGregor, elle aurait pu rester là, à la contempler, pendant des heures. Elle était son petit rayon de soleil avec James et elle allait enfin pouvoir les voir de nouveau réunis. Autant dire qu'elle avait hâte, très hâte, extrêmement hâte. Adressant un clin d’œil à la braconnière, elle laissa un léger sourire malicieux se pointer sur ses lèvres avant de reprendre la parole. « Et toi qu'est-ce que tu as fait pendant que je devenais moche, ici ? » Si Yuki Harada reprenait son sens de l'humour c'est qu'elle allait mieux. Mais d'un autre côté, comment aurait-il été possible qu'il en soit autrement ? Elle était en face de celle qui l'avait soutenue dans toutes les situations difficiles qu'elle avait eu à vivre ; son histoire d'amour compliqué avec Dakota, sa grossesse impromptue et la découverte de la prophétie macabre qui concernait James.

Elle avait tellement de choses à lui demander, tellement de choses à lui avouer. Elle voulait lui parler de tout et rien mais les mots lui manquaient et s'emmêlait dans la tête. L'ancienne serdaigle préféra garder le silence et attendre que son amie réponde à ses questions avant de l'assaillir d'autres.
Revenir en haut Aller en bas
William Alex Slayers
AGENT IMMOBILIER
TRAFIQUANT DE POTIONS.



(PV) open eyes. Empty
MessageSujet: Re: (PV) open eyes. (PV) open eyes. Icon_minitimeMer 2 Jan - 19:58





William & Yuki

❝ Open eyes ❞


William détestait les hôpitaux. C’était froid, sans vie, terriblement déprimant. Il ne pouvait pas comment on pouvait donner la vie dans un endroit pareil. Si un jour il devenait père – si hein – Will préférait de loin que sa femme accouche chez lui. Pour lui saint mangouste était synonyme de mort ou de maladie. S’il avait pût il aurait évité cet endroit comme la peste. S’il avait pût… Il aurait pût le faire mais quel homme sans cœur aurait-il était s’il ne s’était pas rendu au chevet de sa meilleure amie ? Cela faisait déjà six semaines que Yuki était dans le coma. Il avait passé la première semaine à son chevet avant de péter les plombs, de se dire, que ça ne servait à rien… Il avait donc passé les cinq semaines suivantes à faire comme si tout allé bien et comme si ne pensait pas à elle. Et pourtant… Yuki était une vraie emmerdeuse ! Egoïste, caractérielle, casse pied ! Une vraie garce ! Mais c’était SA garce ! Sa folie lui avait manqué. Sa façon de s’adresser à lui, de le regarder et les idées bien à elle qu’elle avait. Ce coma avait rappelé le temps qu’ils avaient l’un de l’autre quand elle élever James loin de Dakota. James… Le pauvre enfant qui se retrouva avec un légume pour guise de mère. Mais tout ça c’était du passer maintenant…

Ce jour là malgré son dégout pour les hôpitaux William se rendait à Saint Mangouste parce qu’il avait reçu un hibou. Il avait gracieusement soudoyé une infirmière pour être informé à la minute où Yuki ouvrirait les yeux et reviendrait dans le monde réel. Ce jour était enfin arrivé… Dans le couloir, le jeune Slayers hésitait à entrait. Il avait acheté des roses rouge, pas du tout sûr que ça lui plaise et même carrément certain qu’elle détesterait, mais c’était le geste le plus important. Il frappa doucement à la porte et l’entrouvit pour passer la tête, un sourire apparut sur ses lèvres lorsqu’il vit Yuki réveillait. Il entra. « Mince j’arrive trop tard ! On m’a dit qu’une belle dormant cherchait un prince pour la tiré de ses rêves mais apparemment c’est raté ! » Dit-il avec humour avant de poser son regard sur Karly qui était là également. « Salut. » lui dit-il simplement avant de reporté son attention sur Yuki. « Comment tu te sens ? »

Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé



(PV) open eyes. Empty
MessageSujet: Re: (PV) open eyes. (PV) open eyes. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

(PV) open eyes.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» With Eyes Like Asphodèle...
» Every time I close my eyes It's like a dark paradise (Finish)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
King's Cross :: L'univers de King's Cross. :: Vox Populi. :: (saison1) RPs.-